Ma petite Pauline,
je suis très contrarié de vous
donner encore contre-ordre, mais je dois prendre le train afin de rendre
visite à un ami souffrant.
Soyez assez gentille pour m'excuser auprès de vos parents. Je vous
sais par avance compréhensive.
Ne dit-on pas : " Qui trop embrasse, manque le train....." ?
Rejoignez-moi, lundi, là où vous savez.
Je vous embrasse très affectueusement.
Votre dévoué
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